Sublimez votre teint!

C’est décidé, cet hiver vous jouez la carte bonne mine ! Pour retrouver luminosité et éclat, à chacune son style. La cosméto a plus d’un tour dans son flacon pour vous offrir un teint de rêve. Beauté marine, huiles essentielles ou peeling maison, découvrez les nouveaux alliés de votre rituel beauté.

L’éclat vient de la mer
Les bons gestes : drainer, gommer et oxygéner la peau

Si les algues sont au coeur des soins de beauté, ce n’est pas par hasard ! Ces végétaux amphibies aux ressources étonnantes contiennent une forte concentration en oligo-éléments, sels minéraux et vitamines parfaites pour redonner de l’éclat à sa peau.

Drainer constitue sans aucun doute la première étape. C’est facile, on commence par se programmer une cure d’ampoule, à base de fucus, une algue brune purifiante par excellence. Complétez avec du radis noir et vous obtiendrez le cocktail parfait pour retrouver un teint éclatant. Gommer ensuite, s’impose, pour éliminer les cellules mortes . Surtout si vous ne le faites pas régulièrement. C’est le moment. Une astuce de pro ! Pour un parfait lissage des traits, pensez à masser et travailler chaque muscle du visage. Ensuite brumisez avec un produit concentré d’eau de mer, et donc d’oligoéléments qui revitaminent votre peau. Un geste presque aussi agréable qu’ une balade au bord de mer, et très efficace. Enfin, oxygénez votre peau, elle le mérite bien. Choisissez les crèmes aux hormones naturelles d’algues, aux vertus nutritives, couplé à de la nacre pour l’effet lumineux. Quant aux micro crispations du visage dus au stress, vous pourrez l’éliminer grâce à un nouvel actif, l’argireline, pour un effet botox like. Et version luxe pour les soirs de fête : les nacres, donnent un éclat immédiat au teint.
Le plus du pro : Pour donner un coup d’éclat au regard, pensez au patch. Dix minutes suffisent pour décongestionner le contour de l’oeil. Sitôt posé sitôt activés. Au bout de dix minutes le contour des yeux est décongestionné.

Un teint lumineux grâce à l’aromathérapie
Les bons gestes : Vitaminer, éclaircir avec l’huile d’acacias et jouer la carte sérum tenseur

A cette époque de l’année, le manque d’éclat vient la plupart du temps de la fatigue, et aussi du manque d’oxygénation pour les urbaines. Offrez à votre peau une cure de vitamines C, sous forme d’un sérum. Un geste simple et efficace. L’impact des huiles essentielles est très ciblé, il s’agit de ne pas se tromper. Si vous recherchez un effet transparence et luminosité misez sur l’acacias aux propriétés éclaircissantes. Les pros le couplent avec l’huile essentielle de citron. Pour un effet optimum et longue durée, vous profiterez de leurs bienfaits sous votre crème de jour, vous verrez rapidement la différence. En aromathérapie, l’éclat relève aussi de l’éveil des sens. Respirez les arômes et appliquez avec une gestuelle tout en douceur. Votre visage devient alors le sujet de toutes votre attention. Si vous recherchez l’effet tenseur, misez sur les fluides qui ont pour mission de tisser un maillage à la surface de la peau, et de lutter contre le relâchement des tissus. Résultat : un effet lissant immédiat. Que votre entourage ne manquera pas de remarquer
Le plus du pro : Pour les peaux sèches mélangez à de l’huile d’argan, 5 gouttes d’huiles essentielles d’acacias et 5 de citron. Les peaux mixtes préfèrent l’huile de jojoba. Prélevez deux gouttes de votre préparation, réchauffez-le dans vos mains et respirez, de toutes vos narines.

Rien de mieux qu’un peeling maison
Les bons gestes : lisser, regonfler, hydrater

Sublimer le teint, c’est la mission première de tout bon peeling. Vous pouvez porter votre choix vers des produits de lissage avec des agents abrasifs doux, dits de microdermabrasion. Derrière des termes qui peuvent paraître rébarbatifs se cachent un principe cosmétique qui a fait ses preuves. Vous opérez un micro ponçage mécanique avec de micro-cristaux d’alumine, qui présente l’intérêt d’être beaucoup moins dosés qu’en institut et donc mieux tolérés. Ambiance cocoon, faites-vous couler un bon bain. vous massez votre visage avec cette crème “gratounette” généralement associée avec un agent desquament, parfait pour éliminer les cellules mortes et jouer sur le relief cutané.

Puis deuxième étape vous recouvrez la peau d’un cocktail aux oligo et acide glycolique qui a pour propriété de regonfler l’épiderme. Ca peut picoter un peu, mais les nouvelles formules sont bien tolérées. Et pour conclure vous hydratez votre peau avec votre crème habituelle.
Le truc du pro : la peau n’est pas votre ennemi, mais une matière vivante, c’est vous qui allez sentir. Vous la travaillez en fonction de votre sensibilité, du bout des doigts, avec légèreté.

Sofia Noten

Sublimez votre teint!

C’est décidé, cet hiver vous jouez la carte bonne mine ! Pour retrouver luminosité et éclat, à chacune son style. La cosméto a plus d’un tour dans son flacon pour vous offrir un teint de rêve. Beauté marine, huiles essentielles ou peeling maison, découvrez les nouveaux alliés de votre rituel beauté.

L’éclat vient de la mer
Les bons gestes : drainer, gommer et oxygéner la peau

Si les algues sont au coeur des soins de beauté, ce n’est pas par hasard ! Ces végétaux amphibies aux ressources étonnantes contiennent une forte concentration en oligo-éléments, sels minéraux et vitamines parfaites pour redonner de l’éclat à sa peau.

Drainer constitue sans aucun doute la première étape. C’est facile, on commence par se programmer une cure d’ampoule, à base de fucus, une algue brune purifiante par excellence. Complétez avec du radis noir et vous obtiendrez le cocktail parfait pour retrouver un teint éclatant. Gommer ensuite, s’impose, pour éliminer les cellules mortes . Surtout si vous ne le faites pas régulièrement. C’est le moment. Une astuce de pro ! Pour un parfait lissage des traits, pensez à masser et travailler chaque muscle du visage. Ensuite brumisez avec un produit concentré d’eau de mer, et donc d’oligoéléments qui revitaminent votre peau. Un geste presque aussi agréable qu’ une balade au bord de mer, et très efficace. Enfin, oxygénez votre peau, elle le mérite bien. Choisissez les crèmes aux hormones naturelles d’algues, aux vertus nutritives, couplé à de la nacre pour l’effet lumineux. Quant aux micro crispations du visage dus au stress, vous pourrez l’éliminer grâce à un nouvel actif, l’argireline, pour un effet botox like. Et version luxe pour les soirs de fête : les nacres, donnent un éclat immédiat au teint.
Le plus du pro : Pour donner un coup d’éclat au regard, pensez au patch. Dix minutes suffisent pour décongestionner le contour de l’oeil. Sitôt posé sitôt activés. Au bout de dix minutes le contour des yeux est décongestionné.

Un teint lumineux grâce à l’aromathérapie
Les bons gestes : Vitaminer, éclaircir avec l’huile d’acacias et jouer la carte sérum tenseur

A cette époque de l’année, le manque d’éclat vient la plupart du temps de la fatigue, et aussi du manque d’oxygénation pour les urbaines. Offrez à votre peau une cure de vitamines C, sous forme d’un sérum. Un geste simple et efficace. L’impact des huiles essentielles est très ciblé, il s’agit de ne pas se tromper. Si vous recherchez un effet transparence et luminosité misez sur l’acacias aux propriétés éclaircissantes. Les pros le couplent avec l’huile essentielle de citron. Pour un effet optimum et longue durée, vous profiterez de leurs bienfaits sous votre crème de jour, vous verrez rapidement la différence. En aromathérapie, l’éclat relève aussi de l’éveil des sens. Respirez les arômes et appliquez avec une gestuelle tout en douceur. Votre visage devient alors le sujet de toutes votre attention. Si vous recherchez l’effet tenseur, misez sur les fluides qui ont pour mission de tisser un maillage à la surface de la peau, et de lutter contre le relâchement des tissus. Résultat : un effet lissant immédiat. Que votre entourage ne manquera pas de remarquer
Le plus du pro : Pour les peaux sèches mélangez à de l’huile d’argan, 5 gouttes d’huiles essentielles d’acacias et 5 de citron. Les peaux mixtes préfèrent l’huile de jojoba. Prélevez deux gouttes de votre préparation, réchauffez-le dans vos mains et respirez, de toutes vos narines.

Rien de mieux qu’un peeling maison
Les bons gestes : lisser, regonfler, hydrater

Sublimer le teint, c’est la mission première de tout bon peeling. Vous pouvez porter votre choix vers des produits de lissage avec des agents abrasifs doux, dits de microdermabrasion. Derrière des termes qui peuvent paraître rébarbatifs se cachent un principe cosmétique qui a fait ses preuves. Vous opérez un micro ponçage mécanique avec de micro-cristaux d’alumine, qui présente l’intérêt d’être beaucoup moins dosés qu’en institut et donc mieux tolérés. Ambiance cocoon, faites-vous couler un bon bain. vous massez votre visage avec cette crème “gratounette” généralement associée avec un agent desquament, parfait pour éliminer les cellules mortes et jouer sur le relief cutané.

Puis deuxième étape vous recouvrez la peau d’un cocktail aux oligo et acide glycolique qui a pour propriété de regonfler l’épiderme. Ca peut picoter un peu, mais les nouvelles formules sont bien tolérées. Et pour conclure vous hydratez votre peau avec votre crème habituelle.
Le truc du pro : la peau n’est pas votre ennemi, mais une matière vivante, c’est vous qui allez sentir. Vous la travaillez en fonction de votre sensibilité, du bout des doigts, avec légèreté.

Sofia Noten

7 moyens de ne plus se sentir fatigué avec www.24pharmacie.com

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Vous êtes épuisé ? Vous souffrez de maux de tête ou de troubles digestifs ? Vous avez des gestes maladroits et vous sentez faible, démotivé ? Pourtant, vous n’avez pas changé vos habitudes depuis les mois où vous étiez en pleine forme : travail , gym, amis, femmes… Alors que s’est-il passé ? Les variations climatiques, la pression de l’air, l’humidité sont autant de facteurs qui influencent le fonctionnement de l’organisme et suffisent à nous affaiblir. Par chance, c’est aussi ce qui nous motive à agir pour un nouveau départ. Voici ce que vous pouvez faire.

1/ Vidés après la gym ?
Vous êtes épuisés, dormez mal, n’éprouvez aucun désir et souffrez de douleurs céphaliques et musculaires. Se défouler pour se libérer du stress du travail est une bonne tactique, mais qui a ses limites. En exagérant, vous risquez de trop en faire. « La fatigue est un signal d’alarme qui montre que le corps est en difficulté et qu’il a besoin de repos, explique le professeur Maurice Ferreri, auteur de La Fatigue et chef du service de psychiatrie/psychologie à l’hôpital Saint-Antoine à Paris. On dit que la fatigue est anormale si elle ne disparaît pas avec le repos. »
Que se passe-t-il ? Vous soumettez votre organisme à un tour de force, sans lui laisser le temps de récupérer, et épuisez vos dernières réserves d’énergie.
La solution ? Reposez-vous. Ralentissez le rythme ou changez de sport pour détendre les muscles qui souffrent. Prenez un peu vos distances avec le travail. À votre retour, planifiez des exercices de récupération avec un coach sportif, en évitant les efforts brefs et intenses et préférant ceux plus longs et doux. Essayez d’alterner journées d’activité et de repos.

2/ Fatigué dès le réveil ?
Tout juste levé, vous avez déjà des migraines, ressentez de la fatigue et avez des difficultés à vous concentrer au travail ou à garder l’esprit focalisé sur vos occupations. « En cas de somnolence notamment, il faut commencer par chercher les causes dans les troubles du sommeil , par exemple narcolepsie ou apnées nocturnes », explique le professeur Cathébras, coauteur de Troubles fonctionnels et somatisation.
Que se passe-t-il ? Dans le second cas, pendant la phase de sommeil, vous vous relaxez petit à petit et les tissus de votre palais aussi. Or lorsque ces derniers sont trop abondants, ils gênent parfois le passage de l’air vers les poumons. Résultat, ces derniers souffrent d’un blocage de la respiration, certes de brève durée (10 secondes), mais suffisant pour déranger le sommeil profond, qui permet le repos.
La solution ? D’abord, maigrir. Et s’habituer à dormir sur le côté, afin que les tissus ne viennent pas boucher les voies respiratoires. Si ce n’est pas probant, mieux vaut aller consulter un médecin. Après un test , il devrait vous conseiller d’utiliser un masque à enfiler pour dormir et qui aide l’air à passer grâce à un petit compresseur. Plus radical, vous pouvez envisager une chirurgie qui remodèle et élimine les excès de tissus à l’aide d’un laser.

3/ Mains moites et souffle court ?
Votre cœur « éclate », vous transpirez beaucoup et un regard suffit à vous irriter. Un peu de tension est parfois bénéfique. Mais pas à ce point. « Le stress, notamment dans le monde du travail où la compétitivité est de mise, est un grand pourvoyeur de fatigue. Il peut être facteur de progrès s’il offre une réponse adaptée à une situation. Mais quand la stimulation dépasse les possibilités intellectuelles et physiques, il inhibe les capacités, affirme le Pr Ferreri. La fatigue se manifeste de manière physique par un affaiblissement général, mais aussi psychique par une anxiété, une irritabilité et une intolérance à la frustration. »
Que se passe-t-il ? La tension stimule la production de cortisol, hormone du stress, soumettant votre coeur à une surcharge de travail et réduisant l’efficacité de votre système immunitaire. Vous devenez plus vulnérable aux agressions extérieures et donc à la fatigue.
La solution ? Évitez les situations de stress. Organisez-vous et sachez où vous allez pour garder une impression de contrôle. Détendez-vous. Pratiqué quotidiennement, le yoga aide à améliorer la qualité de vie et réduire les angoisses et les problèmes d’éjaculation précoce. Le « relâchement musculaire progressif » est une alternative, qui consiste en quelques exercices respiratoires et contractions des muscles du visage, de la nuque, des épaules, des abdominaux, des bras et des jambes. « Parfois, faire une pause, même de cinq minutes, entre le bureau et la maison permet d’évacuer, suggère le Pr. Ferreri. La piscine est aussi une solution. »

4/ Plus de désir depuis un mois ?
Ça ne vous intéresse pas. Vous n’avez pas le temps. Votre carrière vous accapare. Vous restez tard au bureau et apportez des devoirs à la maison. Faites attention : « La fatigue est un inhibiteur de la réalisation sexuelle. À long terme, le stress entraîne même une modification hormonologique et des phénomènes de vaso-constriction qui gênent l’érection », explique le Pr Ferreri. « La perte du désir et du plaisir peut être symptôme d’un début d’état dépressif », ajoute le Pr Cathébras.
Que se passe-t-il ? Vous produisez des tonnes d’adrénaline, hormone qui vous tient dans la course et vous aide à faire trois choses à la fois. Vous avez du mal à vous reposer et vous retrouvez dans un état de stress constant, même la nuit. Vous croyez dormir mais votre corps et votre cerveau continuent de tourner.
La solution ? Essayez de vous retrouver un peu. Investissez-vous dans un grand projet qui vous occupe l’esprit pendant plusieurs mois et détache un peu vos pensées du travail . Dédiez vos matinées aux tâches les plus compliquées, mettez un frein ensuite. Vous serez plus détendu le soir. Le week-end, promenez-vous. N’essayez pas de brûler des calories, vous devez au contraire ralentir l’envoi d’adrénaline au cerveau. « Respectez votre propre durée de sommeil , qui vous permet de vous lever en forme, sachant que les premières heures de la soirée sont les plus réparatrices », suggère le Pr Ferreri.

5/ Lourdeurs après manger ? Vous avez la bouche et les lèvres gonflées ? L’estomac lourd ? Des problèmes de démangeaisons et de somnolence ? Si certains aliments vident vos réserves d’énergie vitale, c’est que vous ne les supportez pas.
Que se passe-t-il ? En cas d’intolérance alimentaire, le corps ralentit son métabolisme et sa digestion dès qu’il entre en contact avec les mets concernés. L’assimilation des vitamines et minéraux devient plus difficile. « Comme tout phénomène compliqué, les réactions immunitaires déséquilibrent l’organisme, explique le Pr Ferreri. Au-delà de la fatigue, certaines intolérances peuvent mettre la vie en danger. Ça va de la simple éruption cutanée au choc anaphylactique. »
La solution ? Il suffit d’éviter les aliments incriminés, ne serait-ce que pour quelque temps (dans les cas légers). Passez également des tests afin de savoir à quoi vous êtes allergique exactement, et comprendre comment récupérer les vitamines et minéraux qui vous manquent. Sur ce dernier point, ne vous fiez pas aux produits trouvés sur Internet. Non seulement ils sont trop nombreux, mais sont aussi peu fiables.

6/ Éternuements et larmoiement à répétition ?
À peine couché, vous éternuez déjà ? Vous respirez mal, êtes essoufflé et vous fatiguez vite ? Ça ressemble à une allergie, qui frapperait même hors saison. « À un certain niveau d’intensité, les allergies entraînent des phénomènes de forte fatigue. Surtout dans les cas de rhumes, affirme le Pr Ferreri.
Que se passe-t-il ? Les fleurs et les plantes vous font souffrir. Mais leurs pollens ne sont pas les seuls coupables de votre épuisement. Les acariens dans la poussière et les poils d’animaux peuvent tout autant gêner la respiration.
La solution ? Nettoyez bien vos draps des particules de peaux mortes, terrain de prédilection des acariens. Aérez votre matelas, de préférence au soleil, qui a une action désinfectante ; lavez vos tapis à 100°C (au mieux, supprimez-les). Et allez consulter un allergologue.

7/ Kilos superflus, ballonnements ?
Vous êtes très chargé ? Vous avez froid quand les autres se sentent bien ? Vos ongles et vos cheveux sont ternes, opaques, fragiles ? Et vous avez le moral dans les chaussettes ?
Que se passe-t-il ? La saison n’est pas forcément coupable. Il se peut que vous ayez un problème de thyroïde. Ça signifie que la glande ne produit pas suffisamment d’hormones (TSH) et que votre métabolisme tourne au ralenti. Non seulement il réduit sa consommation d’oxygène, mais aussi la rapidité à laquelle il brûle les graisses. Vous commencez donc à manquer de protéines pour réparer les muscles et protéger le coeur. « Si une personne est déprimée ou anxieuse, on cherche généralement de ce côté-là, notamment si on ne trouve pas de cause directe à sa fatigue », explique le Pr Ferreri.
La solution ? Voyez un médecin et faites une prise de sang pour évaluer les niveaux de vos hormones et l’état de votre glande. Le Pr Ferreri ajoute : « Les problèmes de thyroïde entraînent une baisse générale du métabolisme. Des examens permettent de situer les déficits et de les corriger. » Éventuellement à l’aide d’un médicament.

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Diabète: pensez à protéger vos reins avec www.24pharmacie.com

Journée mondiale du rein (11 mars 2010)

On estime que plus de 5 % de la population mondiale souffre d’une maladie rénale. Aujourd’hui, la première cause de ces maladies est le diabète. Découvrez ces liens méconnus ainsi que les moyens de prévention et les progrès médicaux pour les patients dialysés.
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Le 11 mars 2010 aura lieu la cinquième Journée Mondiale du Rein, consacrée cette année aux liens entre diabète et insuffisance rénale. Découvrez l’essentiel sur les “liaisons dangereuses” avec la Fondation du rein.
Le diabète, principale cause d’insuffisance rénale

Entre 400 et 600 millions de personnes dans le monde sont atteints d’insuffisance rénale chronique. Faute d’un diagnostic précoce, des millions décèdent prématurément de cette maladie ou de ses complications cardiovasculaires. Pourtant, ces troubles peuvent être détectés et leur évolution stoppée ou ralentie.

Les causes classiques de maladie rénale chronique sont les affections inflammatoires des reins, les infections et les obstructions urinaires et les maladies génétiques comme la polykystose rénale. Mais aujourd’hui, on constate dans tous les pays, que le diabète et l’hypertension artérielle sont devenus les causes les plus fréquentes. En France, 30 % des patients dialysés chroniques, et 40 % des patients entrés en dialyse en 2009, sont diabétiques. Le nombre de malades diabétiques nécessitant une dialyse ou une greffe rénale va doubler au cours de la prochaine décennie.
Maladie rénale : une évolution lente

Longtemps silencieuses, les maladies rénales ont peu de symptômes mais elles sont faciles à détecter par un examen des urines (albumine) et de sang (dosage de la créatinine). Chez les personnes à risque (diabétiques, hypertendus, obèses, fumeurs, personnes de plus de 50 ans, antécédents familiaux), le dépistage doit être une priorité. La plupart des formes de maladie rénale sont traitables, et leur progression peut être enrayée surtout si la prise en charge est débutée très tôt.

La première conséquence d’une maladie rénale chronique méconnue est la perte progressive de la fonction rénale conduisant à la dialyse ou à la greffe de rein pour sauver la vie du malade. La deuxième conséquence est un risque de décès prématuré par complication cardiovasculaire.

Les 7 mesures clés de la prévention

* Contrôle de l’hypertension artérielle qui permet de ralentir la perte de fonction rénale
* Réduction de la protéinurie par les médicaments bloqueurs du système rénine-angiotensine
* Réduction des apports en sel qui favorise le contrôle de l’hypertension artérielle
* Contrôle de l’hyperglycémie et de l’hypercholestérolémie
* Arrêt du tabac
* Augmentation de l’activité physique
* Contrôle de l’excès de poids

A chaque stade de la maladie rénale diabétique, un traitement efficace mais simple, permet de stabiliser, voire d’inverser l’évolution : la microalbuminurie et même la protéinurie peuvent régresser, la fonction rénale peut se stabiliser, voire s’améliorer. Or plus de 80 % de ces patients ne connaissent pas suffisamment les risques rénaux du diabète, ni les objectifs et les moyens du traitement, dont les deux piliers sont l’équilibre glycémique et le contrôle de la pression artérielle.
Vers plus de confort pour les patients dialysés

Lorsque la maladie nécessite une dialyse, de nouvelles techniques s’offrent aux patients. En effet, même si les technologies de la dialyse chronique ne sont pas récentes, certaines innovations permettent aujourd’hui un plus grand confort :

* Mesure en temps réel de la dose de dialyse

Il est désormais possible d’indiquer la quantité d’épuration délivrée, y compris pour les appareils utilisés par le patient hémodialysé autonome en autodialyse ou au domicile. Cela permet de vérifier que la dose de dialyse prescrite par le médecin est atteinte et ainsi d’éviter (en modifiant si nécessaire le débit sanguin dans l’appareil ou la durée de la séance) d’être insuffisamment épuré de ses déchets, ce qui conduirait à une perte de l’appétit à l’origine d’une dénutrition – un facteur très important de mortalité chez le patient dialysé.

• Appareils de dialyse pour l’hémodialyse quotidienne

L’hémodialyse quotidienne (6 séances par semaine de 2h à 2h30) est souvent préférée des patients à l’hémodialyse conventionnelle (3 séances par semaine de durée 4h à 4h30), d’une part parce qu’ils se sentent beaucoup mieux (absence de symptômes pendant les séances, aucun temps de récupération nécessaire après la séance, régime pratiquement libre entre les séances), d’autre part parce qu’un schéma d’hémodialyse quotidienne est parfois plus facile à caser qu’un schéma conventionnel dans une vie sociale ou professionnelle. Cependant, ce schéma double le temps et le coût du transport vers l’unité de traitement, mais également le temps de la préparation de la machine avant la séance et de sa désinfection après la séance. C’est pourquoi plusieurs appareils de dialyse sont en cours de développement pour réduire au maximum ce temps et permettre au patient autonome de se dialyser à domicile.

• Système expert en dialyse péritonéale

Un système de télémédecine (Diatelic) récemment développé permet d’éviter le risque de dérive du poids en dialyse péritonéale. Il suffit au patient de collecter chaque jour sur l’ordinateur les données de sa dialyse péritonéale (au lieu de le faire sur son cahier de dialyse). Ces données sont transmises à un système expert qui évalue l’évolution des paramètres du patient et en particulier de son poids. En cas de dérive, le système émet un message d’alerte au médecin responsable, qui prendra alors contact avec le patient pour lui indiquer les changements à effectuer dans les modalités de son traitement. Le but est de ne plus attendre un rendez-vous mensuel pour réagir et ainsi d’éviter de nombreuses hospitalisations.

La Fondation du rein travaille quotidiennement pour sensibiliser le grand public sur les maladies rénales, aider la recherche et former les professionnels de santé. Pour l’aider dans cette tâche, vous pouvez lui adresser vos dons (références ci-dessous). La Journée mondiale du Rein promet d’être fertile en événements. Pour tout savoir sur les manifestations, une seule adresse : www.fondation-du-rein.org

Luc Blanchot, le 3 mars 2010

10 astuces pour avoir les dents blanches, avec www.24pharmacie.com

© Jupiter Images

Chaque jour, le fait de consommer du thé ou du café altère l'éclat de vos dents et avoir un joli sourire rime avec des dents saines et blanches. Voici quelles astuces pour avoir de belles dents. par Lucie DANCOING avec agence

1- Le bicarbonate de soude est un classique pour blanchir les dents. Utilisez-le pur, sur votre brosse à dents trempée dans de l'eau oxygénée à 10 volumes.

2- Le détartrage classique chez le dentiste peut aider à faire disparaître certaines taches superficielles causées par le thé ou le café.

3- Certains aliments comme les pommes, le céleri ou les carottes contribuent à l'élimination des dépôts sur les dents car ils augmentent la salive.

4- Le thé, le café, le vin rouge, tous les fruits rouges: myrtille, cerise, mûre... altèrent l'éclat et la couleur de vos dents. Pour éviter que les taches s'installent, brossez-vous les dents ou buvez de l'eau juste après...

5- Si vous fumez, les tâches brunes causées par la nicotine sont parfois difficiles à faire partir car elles pénètrent l'émail. Dans ce cas, un blanchiment peut être la solution.

6- Pour prévenir le jaunissement, les dentistes recommandent un brossage régulier d'au moins trois minutes, après chaque repas (trois fois par jour) vous aidera à garder des dents saines, avec l'utilisation également de brossettes interdentaires, pour nettoyer les espaces interdentaires.

7- Il existe des bandelettes blanchissantes qui s'achètent en pharmacie. Elles contiennent du péroxyde d'hydrogène, un composant utilisé par les dentistes pour le blanchiment (à utiliser une fois par mois seulement).

8- Les dentifrices "blancheur" ont des effets moins spectaculaires que les spots publicitaires qui vantent leurs mérites mais ils ont l'avantage d'éliminer les dépôts sue la plaque dentaire.

9- La microabrasion peut avoir une action sur les colorations superficielles de l'émail. Le dentiste procède à une méthode d'usure de l'émail avec une pâte abrasive et acide.

10- Si vous souhaitez donner un coup d'éclat spectaculaire à votre sourire, faites un blanchiment chez votre chirurgien dentiste. Sachez qu'il n'élimine pas totalement les taches et qu'une certaine hygiène dentaire et alimentaire doit être observée dans le mois qui suit le traitement.

Notre conseil
Pour des dents bien blanches, il existe une astuce qui consiste à se frotter les dents avec un bout de charbon pendant quelques minutes.

Source: www.plurielles.fr

Sophrologie, respirez la vie avec 24pharmacie.com.

La gestion du stress au travail avec la sophrologie

La sophrologie dans ses techniques comportementales, dynamiques et analytiques permet de gérer le stress dans les situations professionnelles : étude d’un cas.

Catherine, 30 ans, célibataire, secrétaire. - « Ah! Si je pouvais changer de métier! Huit

heures par jour, je ne m'appartiens pas. Je déteste ce que je fais, j'attends les vacances. Je ne sais pas comment je vais faire pour aller jusqu'au bout. Les relations dans l'entreprise sont difficiles. Chacun s'épie et cherche à prendre la place de l’autre. Le stress du travail, la nervosité des gens, c'est trop difficile. On a un boulot fou et le patron est d'une humeur massacrante. C'est un monde de jalousies et de continuelles disputes sur des points ridicules.

Nous sommes trois dans un grand bureau. Je ne supporte pas les deux autres, leurs conversations le lundi matin, leurs commérages. Je n'en peux plus. Mon travail me rend mauvaise."

Que faire? Faut-il supporter un lieu de travail aussi négatif? Peut-on en changer?

Le métier est lié à la qualification du travailleur, à l'argent qu'il procure, donc au niveau de vie qu'il apporte, mais il est indissociable d'un problème géographique, humain et conjoncturel. Il est difficile de faire comprendre à quelqu'un qui souffre des conditions de son travail qu'il doit étudier les possibilités de changer d'entreprise, voire de région.

Cette jeune femme qui ne supporte pas son patron, dont elle égrène les brimades au cours des séances, se retrouve régulièrement malade. Elle ne veut pas envisager de rechercher ailleurs une semblable position. Elle peut alléguer légitimement ses liens familiaux, la peur de s'éloigner de sa famille et de ses amis.

Mais ces raisons ne tiennent pas réellement, car si elle se mariait elle accepterait de partir vivre ailleurs. Ne serait-ce pas une solution d'ouvrir son horizon, de changer d'habitudes, de changer d'environnement?
Elle se retrouverait plus libre, plus détendue et plus disponible pour de nouvelles rencontres. Ce serait l'opportunité pour changer réellement de vie.
C'est possible, mais elle se refuse à le faire. Elle n'a pas confiance en elle ni dans les autres. Elle préfère se maintenir dans cette atmosphère nocive où il lui est difficile de respirer la vie.

On peut se demander alors quels bénéfices elle trouve à rester dans cette situation intenable? Est-ce une autopunition liée à un sentiment de culpabilité qu’elle puise dans les difficultés de son enfance, dans les relations difficiles avec son père? Tout chez elle semble dire: « Voyez comme je souffre! »
Sa santé, son humeur s'en ressentent. Elle est fatiguée depuis le matin et ressent des douleurs dans le dos, dans la nuque. Elle parle de ses problèmes de sommeil. Elle présente un état dépressif. Elle est suivie régulièrement par un médecin.

Catherine ne dirige pas sa vie. Son propre mal-être, son ressentiment profond et inconscient la maintiennent dans une situation impossible.

« C'est intenable dit-elle en substance ». Et en parlant de son directeur, elle dit : « Voyez comme il est méchant ! » et d’ajouter « voyez comme je suis courageuse ! ».

Catherine demande à la sophrologie de l'aider dans un premier temps à supporter son travail, ses collègues, son patron.
Grâce au travail sur la respiration abdominale réflexe pour supporter son stress quotidien, elle maîtrise mieux ses accès de larmes, ses réactions émotionnelles trop impulsives. Elle retrouve une pensée positive en associant des mots positifs à chaque inspiration et à chaque expiration dans une respiration synchronique volontaire.

Des visualisations positives, des souvenirs heureux, des objectifs à court terme très précis sont un puissant appui pour accepter la situation de stress de sa vie en général et ne pas grossir les incidents. Ses séances espacées d’une semaine ont été enregistrées pour elle personnellement, elle les écoute une à deux fois par jour ; leur durée est de 10 minutes environ.

Déjà, après un mois de travail, son calme et sa maîtrise nouvelle surprennent ses collègues et lui donnent envie de poursuivre cette évolution. L'atmosphère du bureau est plus détendue. Catherine envisage d'avoir de vrais contacts avec ses camarades. L'enfer, elle l'avait vécu dans sa tête, elle l'avait amplifié jour après jour pour en arriver à un état de crise. Peu à peu, les messages positifs ou neutralisants sont perçus et intégrés dans l'inconscient au niveau sophro-liminal (au bord du sommeil) : ils jouent un rôle de levier.

La perception de Catherine se modifie insensiblement et elle en ressent un tel bienfait qu'elle se demande aujourd'hui comment elle a pu souffrir autant. Son sommeil est de nouveau réparateur, ses douleurs s’estompent et n’ont plus le même impact sur son rythme de vie. Le monde dans lequel elle évolue n’a pas changé mais son regard s’est modifié et son comportement a évolué au point que les autres entretiennent une meilleure communication. Tout le monde s’y retrouve.

Des techniques analytiques permirent à cette jeune femme de prendre conscience peu à peu du fait qu'elle n’avait pas la maîtrise d’elle-même et qu'elle était submergée par sa propre sensibilité, ses pulsions, ses mauvaises croyances, ses schémas réducteurs.

Elle alla mieux. Elle ne changea ni de région ni d'entreprise.

La « maison » s'était agrandie et d'autres locaux furent aménagés dans une autre partie de la ville. On lui proposa un autre poste dans la même entreprise, ce qui l'éloigna de son directeur et de ses collègues.

Catherine s'est inscrite ensuite dans un groupe de sophrologie d'évolution personnelle afin de garder un contact avec les techniques apprises et de développer un esprit sophronique. Elle est devenue plus autonome dans la gestion de son stress quotidien et plus ouverte.

Ces séances s'articulent sur un protocole de gestes issus de la tradition hindoue et bouddhiste. Ils correspondent à des étapes de prise de conscience de la globalité de la personne, de la circulation de l’énergie dans le corps, des blocages de la respiration, de l’ancrage, de l’enracinement dans le physique, dans le sol. Ils demandent une répétition, c’est donc un apprentissage.
Ils peuvent être travaillés par séquences sur une période qui se détermine en fonction de l'évolution du groupe.
Toutefois, ils commencent toujours par une sophronisation de base, incluant une relaxation et une modification de conscience, soit debout, soit assis, soit en position allongée. Ils se terminent par une désophronisation, c’est à dire un retour au monde quotidien, une reprise des tensions nécessaires à l’activité ordinaire.

Le travail sur l’énergie vitale, sur le mental positif et sur la présence à soi-même et à son propre corps favorisent le bien-être : la joie de vivre, la communication simple, naturelle, sans agressivité, en confiance.

La sophrologie fait prendre conscience de la qualité de la vie, de « l’ici et du maintenant », intègre le dynamisme de l’être profond. Elle donne l’envie et l’énergie d’entreprendre et d’évoluer. C’est une voie de liberté intérieure et d’autonomie dans l’action.

L’alimentation des sportifs avec www.24pharmacie.com

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Pour être un champion ou simplement pour pratiquer une activité physique régulière, faire le plein d’énergie ne suffit pas! Il faut aussi choisir les bons aliments, qui vous apporteront les vitamines indispensables à l’effort.

Les vitamines sont alliées du sportif. Mais lesquels faut-il privilégier ?
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Les bonnes vitamines de l’effort

Lors de l’effort physique, le corps est un grand consommateur de vitamines. En effet, tous les nutriments sont transformés en énergie grâce à elles. Plusieurs vitamines du groupe B (B1, B2, PP, B5, B6, B9) participent à l’utilisation des sucres, des protéines et des lipides pour fournir l’énergie indispensable aux muscles. Ainsi, les besoins en plusieurs vitamines hydrosolubles (B1, B2, PP, B5, B6, C) sont proportionnels à la dépense énergétique. Par ailleurs, les vitamines antioxydantes (A, C, E) luttent contre la formation des radicaux libres liée à l’intense activité musculaire. Elles limitent également les phénomènes inflammatoires dus aux microtraumatismes comme les tendinites et les oedèmes. La vitamine C participe également spécifiquement à la lutte contre la fatigue et les infections et favorise l’absorption du fer.

En cas de pratique sportive occasionnelle (1 à 3h/semaine), les besoins en vitamines correspondent à ceux de la population française. Mais en cas de pratique intense, les besoins en vitamines B1, B2, PP et B6 peuvent être augmentés.

Les aliments les plus riches

Si l’alimentation du footballeur n’apporte pas les quantités suffisantes de vitamines, la performance physique risque d’être diminuée. Quant aux suppléments vitaminiques, ils ne seront utiles qu’en cas de déficience, car leur intérêt pour augmenter la performance n’a pas été prouvée. Les sources alimentaires de ces vitamines sont très variées : céréales, légumes secs et fruits secs pour la vitamine B1, produits laitiers et abats pour les vitamines B2 et B6, viandes, poissons, oeufs et produits laitiers pour la vitamine B12. Quant aux antioxydants : la vitamine E est caractéristique des huiles végétales, la vitamine C se concentre dans les fruits et légumes frais et la vitamine A est à la fois présente sous forme de rétinol dans le beurre et les margarines et sous forme de beta-carotène dans les légumes et fruits.

En pratique

Pour couvrir idéalement ses besoins, un sportif doit manger au-moins 2 à 3 fois des fruits et légumes dans la journée pour un apport de vitamine C suffisant, 20 g de beurre pour assurer les besoins en vitamine A, et 3 à 4 cuillères à soupe d’huiles végétales variées pour la vitamine E. Quant aux vitamines du groupe B, seule une alimentation variée peut toutes les apporter en quantités suffisantes. Parmi elles, ne pas oublier la vitamine B9, exclusivement présente dans les végétaux et la vitamine B12 présente uniquement dans les aliments d’origine animale. La consommation d’aliments enrichis peut contribuer à un meilleur équilibre nutritionnel du sportif. Par-contre, l’usage prolongé de suppléments vitaminiques est contre-indiqué (risque d’excès) : il doit être pratiqué ponctuellement, sur une durée limitée, et sous la surveillance d’un professionnel de santé.

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